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TAXES et IMPOTS
Présentation du réel «pouvoir d’achat» actuel des Français, pour ceux qui sont salariés. Devrait-on dire plutôt «pouvoir survivre».
C’est très simple, on dit que vous travaillez 1 jour pour vous et 1 jour pour l’Etat (50% pas plus comme aime nous le répéter notre président, M. Nicolas SARKOSY de NAGY-BOSCA), ceci est complètement faux et aberrant car nous sommes dépossédés de plus de 80 % de notre revenu, et il ne reste donc plus que 18% de notre dur labeur, non pas de pouvoir d’achat, mais de pouvoir survivre.
Manque le poste pour la santé - Désolé, pas de santé.
Il reste à ajouter une multitude de petites taxes ici et là. Voir la liste réelle des taxes et impôts en tout genre qui existent en France.
1er objectif : rétablir un semblant de justice et d’équité pour tous, riches et pauvres 30 % sur les gains de toute nature et de tous (sur tout type de profit), + 0,5% sur tous les patrimoines (immobilier et matériel) + une TVA évolutive de 5% à 35% + des activités lucratives exploitées par l’Etat dont les bénéfices aux services de l’Etat (elles peuvent être très nombreuses) + une taxation des entreprises sur le CA en supprimant les charges sur les bas salaires, etc.
Cela devrait permettre de toujours faire vivre généreusement le fardeau du pays (les élites), profiter à l’emploi, mais surtout, de rendre moins esclaves les citoyens.
Résultat recherché, pérenniser un système moins injuste et profitant à tous.
Yvan Stefanovitch, auteur de "Aux frais de la princesse"
"Les privilégiés de la République, c'est la crème de la crème de la fonction publique"
Qui sont pour vous les privilégiés de la République ? Les privilégiés de la République forment une noblesse d'Etat, plus précisément les 15hauts fonctionnaires diplômés en quasi totalité de l'ENA, polytechnique ou Normale Sup'. C'est à dire la crème de la crème de la fonction publique. Ce sont les mieux payés des fonctionnaires (de 6 000 à 45euros par mois) et ont droit à une kyrielle d'avantages : voiture et appartement de fonction, et à toute une série de primes.Un salaire exorbitant, des privilèges à la limite de la décence... Qu'est-ce qui justifie une telle différence de traitement entre ces "privilégiés" et le commun des mortels ? L'Histoire de France ! Prenons l'exemple de l'Inspection des Finances, c'est-à-dire l'élite de l'élite, constituée de 400 hauts fonctionnaires qui trustent des postes à l'Elysée, à Matignon et en disponibilité (jusqu'à 12 ans de suite dans le privé) à BNP-Paribas, un groupe bancaire, où ils sont la bagatelle de douze à occuper les postes les plus importants.Ce mélange de l'élite public-privé a commencé au début du XIXe siècle, lors de la création des grands corps administratifs sous la monarchie constitutionnelle. Un corps qui trustait déjà les hauts postes dans l'administration et la banque. Rien n'a changé, nous vivons toujours en monarchie, mais républicaine, où la méritocratie (sélection par les diplômes de l'élite) n'est pas une garantie de compétence...
»Lire la suite : Sénateurs et ambassadeurs : les "super-privilégiés"